Pourquoi tu performes à l'entraînement… mais pas le jour J ?

je te propose de comprendre, corriger, performer autrement

Ce que tu vis, je l’ai vécu et je l’ai vu chez des centaines d’athlètes, d’artistes, d’entrepreneurs.

Tu es prêt. Tout est calé.

À l’entraînement, tu déroules.

Tu sens le bon timing, tu contrôles ton corps, tu sens que t’es "dedans".

Et pourtant, en compétition, ça se crispe. Pas forcément une catastrophe, non. Mais tu sens que tu n’exploites pas ce que tu as vraiment dans le coffre.

Cette sensation frustrante, je la connais trop bien. Je l’ai vécue, en sport, en scène, en entreprise, en opération commando. Et surtout, je l’ai décodée. Parce que ce n’est ni un manque de talent, ni un simple "problème de stress", ni une fatalité.

C’est un défaut de préparation mentale intégrée.

Pas de la relaxation. Pas du développement personnel de surface.

Je parle ici de Mental 360, une méthode qui s’appuie sur les sciences cognitives, la physiologie, l'engagement, la mise en tension volontaire et le mouvement.

Une méthode qui n’oppose pas entraînement et compétition, mais qui les relie dans un seul et même processus d’impact.

Le vrai problème : ce n’est pas la compétition. C’est ce que ton cerveau en fait.

On entend souvent que le cerveau fonctionne différemment à l’entraînement et en compétition.

C’est vrai.

Mais pas pour les raisons qu’on t’explique.

Le cerveau ne distingue pas “entraînement” et “compétition”. 

Il distingue “zone connue” et “zone perçue comme dangereuse”.  Et cette perception est subjective, émotionnelle et parfois inconsciente. C’est ce qui fait que certains se paralysent sur un plateau TV ou un terrain de quartier... 

… et d’autres performent à Wembley ou en salle de crise.

La différence ne se joue pas sur le talent, ni sur le nombre d’heures d’entraînement. Elle se joue sur la capacité à engager le cerveau dans une dynamique stable et reproductible, même sous pression.

Quand la pression devient poison : comprendre la dérive neurophysiologique

Voici ce que dit la littérature scientifique (et ce que je constate sur le terrain) :

- Le stress aigu provoque un détournement des ressources cognitives vers des circuits plus archaïques (amygdale, tronc cérébral).

- L’accès au cortex préfrontal (prise de décision, anticipation, gestion motrice fine) est réduit de 30 à 40 % lors d’une surcharge émotionnelle non préparée.

- La libération d’adrénaline et de cortisol peut être performante à court terme, mais devient un frein si elle n’est pas anticipée, régulée et intégrée.Conclusion ? 

Ce n’est pas la compétition qui t’épuise. C’est la lutte interne que tu mènes contre ce que tu ressens.

Ce que fait Mental 360 : reconnecter l’action au bon niveau d’impact

Ma méthode Mental 360 ne cherche pas à "calmer" ton cerveau. Elle cherche à le préparer au mouvement, dans toutes les conditions. Elle repose sur trois piliers fondamentaux :

1. Le potentiel — Ce que tu ignores de toi. Ce qui est là, mais que tu n’as pas encore libéré, parfois même pas identifié.

2. Le mental — Comment tu fonctionnes. Ton rapport au risque, à la performance, à l’échec, au regard, au doute.

3. L’engagement — Ce que tu mets vraiment en jeu quand tu agis. Et ce qui te freine sans que tu t’en rendes compte.

Ce triptyque s’active à travers une boucle puissante, que j’ai appelée la Dynamique d’Impact.

La Dynamique d’Impact : le chaînon manquant entre le potentiel et le résultat

Voici le cœur de mon approche. Pas un modèle théorique. Une chaîne de transformation concrète, testée sur le terrain.

Énergie → Vision → Intention → Prise de décisions → Attention → Actions → Réalisations → Résultats → Analyse

Chaque maillon conditionne le suivant.  Et le plus souvent, quand tu bloques en compétition, c’est que tu n’as pas préparé l’un des maillons intermédiaires.

Exemple :

- Tu as l’énergie. Mais pas la vision claire du pourquoi tu fais ça aujourd’hui.

- Tu as l’intention. Mais ton attention dérive, car tu gères des peurs parasites.

- Tu fais des actions. Mais elles sont mécaniques, sans connexion à l’impact que tu veux créer.

Résultat : tu fais "le job", mais sans densité. Sans vibration. Et donc, sans performance maximale.

Tu comprends ? C’est le détail qui fait la différence 

Ce que je change quand j’accompagne un athlète ou un leader

J’entraîne mes clients à vivre la pression avant qu’elle n’arrive. Pas dans un bureau calme. Pas dans la théorie. Mais en les exposant volontairement à des zones de tension simulée, de manière méthodique et constructive. Je les emmène dans l’action, la vraie, celle qui freine…Exemples concrets :

- Simulations de prises de parole en conditions extrêmes (bruit, jugement, imprévu).

- Exercices cognitifs sous stress (réaction, double tâche, distorsion de temps).

- Débriefs sur la gestion de la charge émotionnelle passée et son ancrage mémoriel. Et surtout, on ne s'arrête jamais à la surface :  on remonte au sens donné à l’action.

Parce que c’est toujours là que ça coince quand le corps ne suit plus.

La question à te poser n’est pas “comment gérer mon stress ?” mais plutôt : qu’est-ce que je veux faire de ce moment ?

La compétition n’est pas une menace.  C’est un miroir. Elle révèle ce qui est prêt… et ce qui ne l’est pas encore. Et la bonne nouvelle ?  Ce qui n’est pas prêt peut se préparer. Vraiment. Mais à condition d’arrêter de penser que la solution, c’est juste de mieux respirer ou de se détendre. 

Ce qu’il te faut, c’est un engagement conscient et progressif dans un processus de transformation.

Et ça, c’est ce que je t’enseigne dans Mental 360.

La performance ne se joue pas le jour J. Elle se joue dans la façon dont tu prépares ton cerveau à y être pleinement.

Préparer son corps, c’est indispensable.  Mais préparer son cerveau à performer dans l’inconfort, à rester lucide, engagé, connecté à une vision claire…

C’est ça qui fait la différence entre ceux qui espèrent… et ceux qui marquent l’histoire. ( tiens, c'est moi sur la photo ci contre en coupe de France de Full-contact en 2024)

Mon livre “Un mental à toute épreuve” sort ce premier semestre 2025 chez éditions Gereso.

C’est le condensé de 30 ans d’expérience en performance humaine, en scène, en soins, en sport et en commandos.

Un mental, ça se travaille. Pas pour être parfait. Mais pour être prêt, vraiment.

Et je donne un ensemble d’exercices de ma méthode, une véritable bible de la préparation mentale.

Tu peux recevoir chaque semaine ma newsletter Le samedi, ça me dit – un concentré d’outils concrets, d’analyses de terrain et d’idées fortes pour te préparer autrement.

Rien de plus simple, tu t’abonnes sur mon profil linkedin.