Dans l'mil épisode 1

Oui, je tire avec une IA. Et ça fonctionne.

Depuis janvier, je me suis lancé un défi très simple à formuler, mais exigeant à tenir : progresser vraiment au tir sportif 10 mètres pistolet.

Pas pour m’amuser, pas pour remplir une case, mais pour atteindre un niveau qui me permette de concourir sérieusement.

J’ai un objectif : décrocher une place pour les championnats.

Je pars d’un score moyen de 450, en mode autodidacte.

Aujourd’hui, trois mois plus tard, je suis à 540. Et non, je ne suis pas allé m’entraîner avec un coach national ni m’exiler dans un centre de haut niveau.

J’ai juste décidé de m’entraîner 3 à 4 fois par semaine.

Et j’ai travaillé avec un partenaire inattendu : ChatGPT.

Oui le défi est un peu fou mais j’adore ce genre d’expérience qui ne sait pas ou ça va me mener. En toute transparence, je vais tout vous partager, parce que je prends ce défi comme tout ce que je fais dans ma vie, à 2000 à l’heure.

C’est moi qui m’occupe du mental. Lui, il gère le reste.

J’ai pris le pari de mêler entraînement cognitif et analyse de données.

Concrètement ?

• Je photographie toutes mes cibles.

• Je lui donne les infos (résultats bruts, conditions, sensations).

• Il me renvoie une analyse détaillée, des statistiques d’évolution, et des conseils de réglages ou de travail.

• Il m’aide aussi à structurer mes cycles d’entraînement, en croisant mes retours mentaux avec mes performances.

Et le plus fou dans l’histoire ? C’est que ça fonctionne.

Non, ce n’est pas magique. C’est de la rigueur + de la méthode + de l’envie et de l’engagement.

Ce que je fais n’est pas un miracle. C’est juste une alchimie entre :

• Mon engagement (sans ça, aucune IA ne peut rien pour vous)

• Ma connaissance du mental (je construis mes routines, mes focus, mes visualisations, après tout c’est mon job)

• Et une IA qui m’aide à structurer, analyser, et objectiver ce que je ressens parce que je ne connais pas grand-chose au tir sportif.

Parce que parfois, le cerveau ment. Les chiffres, eux, racontent autre chose.

Et maintenant ?

Je continue. Je progresse. Et je prépare déjà un retour d’expérience plus complet chaque lundi dans une rubrique intitulée « dans l’mil ». Mon objectif ? Montrer qu’avec de l’envie, de la régularité, de la répétition et une méthode, on peut exploser ses plafonds.

Même à 56 ans. Même quand on débute. Même quand on s’entraîne seul.

Et si vous voulez savoir ce que je prépare pour la suite… restez branchés les lundis.

Ton cerveau veut te garder en vie. Moi, je veux que tu vives vraiment.

🫵 Je suis Thierry Ferrari, préparateur mental, expert en mise en action.Se préparer, c'est bien. Passer à l'action, c'est mieux.Je suis celui qui ne te laisse pas d'autre choix que d'y aller, parce qu'entre vouloir et réussir, il y a l'action.